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Manuel Acedo Sucre nació en Caracas en 1958. Se graduó de abogado en la Universidad Central de Venezuela y obtuvo títulos de maestría y de especialización en la Escuela de Derecho de la Universidad de Harvard, y de maestría en la Escuela Fletcher de Derecho y Diplomacia de la Universidad de Tufts. Ha sido profesor universitario y actualmente ejerce como abogado en la ciudad de Caracas. En 2012 fue publicada su primera novela, "Nosotros todos"; en 2014 se publica su segunda novela, "La misa", y en 2016, su tercera novela, "La otra cara". Email: manuel.acedo@gmail.com Twitter: @acedosucre

viernes, 16 de septiembre de 2016

Autor publica nueva novela: La otra cara

Ya está a la venta en las principales librerías de Venezuela, la nueva novela de Manuel Acedo Sucre, La otra cara. También se encuentra disponible en Amazon, tanto en formato físico como en electrónico (Kindle). Enlace: https://www.amazon.com/dp/B01HHCK54Y?ref_=k4w_ss_details_rh#nav-subnav

lunes, 22 de junio de 2015

Reseña de Nosotros todos por Ricardo Riera en Goodreads

Puntos de vista narrativos de cuatro personajes distintos cuyas historias se van mezclando en torno al McGuffin de una carta robada de Bolívar. Pero también una de las mejores novelas venezolanas que he leído en los últimos años, aunque es cierto que gran parte de su apreciación quedará limitada a un lector si no venezolano al menos conocedor de la realidad que ha vivido (y sigue) viviendo el país. En ese sentido es una obra que muestra un pesimismo sin amargura, un fatalismo pragmático visto a través de las miserias de esos cuatro personajes muy acertadamente identificados con pronombres personales (Yo, Tú, Él y Nosotros) que se mueven en lo que a todas luces es una picaresca moderna. Pero lo que sin duda me ha gustado más es que se trata también de un triunfo de la imaginación, ya que al idear la trama de la carta de Bolívar, Acedo construye una auténtica ucronía en la que no sólo habla del populismo mesiánico o de la reinvención a conveniencia de la historia, sino también de cómo la pesadilla colectiva de Venezuela sólo puede ser representada como una farsa absurda, de la cual su principal característica no es su crueldad sino su banalidad. Insisto, una gran novela que queda absolutamente recomendada.
http://www.goodreads.com/review/show/1293665465?book_show_action=true&from_review_page=1

jueves, 10 de octubre de 2013

Nosotros todos reseñado en Francia en Books: Livres & idéés du monde entier. Books-fr

Bestsellers

Jeudi 29 août 2013
Numéro 46
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Le Guépard à Caracas

Un roman vénézuélien à grand succès brosse un portrait au vitriol de la « bourgeoisie bolivarienne » qui s’est si bien accommodée du chavisme.

Le Livre

Nous tous
nosotros todos,
Editorial Carsten Todtman

« Il y a dans toute société une certaine dose de “guépardisme” », écrit la journaliste vénézuélienne Giuliana Chiappe dans les colonnes du quotidien El Universal, en référence au phénomène analysé par l’écrivain sicilien Giuseppe di Lampedusa dans son célèbre roman. Publié en 1958, Le Guépard décrit « la façon dont les individus s’adaptent – bien plus vite qu’on ne pense – aux changements de pouvoir, adhérant à ces nouveaux systèmes que, dans le fond, ils rejettent, mais dont ils cherchent à tirer avantage », explique Chiappe. Véritable métaphore de la crise politique qui secoue le Venezuela,Nosotros todos, premier roman de Manuel Acedo Sucre, avocat d’affaires de Caracas, est une version latino-américaine du Guépard, qui brosse le portrait d’une société marquée par quatorze années de chavisme. Sorti en novembre 2012, quelques mois avant le décès d’Hugo Chávez, l’ouvrage en est déjà à sa quatrième réimpression.
La structure du roman est conçue sur le mode d’une conjugaison verbale, dont les quatre chapitres décrivent successivement les personnages de « Moi, le banquier », « Toi, la dépravée », « Lui, l’opérateur » et « Nous tous ». « Moi, le banquier » est un riche Vénézuélien qui a émigré aux États-Unis dans les années 1990 et qui, « alors qu’il faisait partie du gratin de la finance mondiale, s’est mis en tête dix ans plus tard, en pleine Révolution bolivarienne, de rentrer au pays, pour mieux connaître le monstre de l’intérieur », rapporte Michelle Roche Rodríguez dans El Nacional. « Toi, la dépravée », pour sa part, « connaît la frustration depuis le jour où elle est entrée dans la très sélective école de Sœurs où ses parents l’avaient inscrite », poursuit El Nacional. Quant à « Lui, l’opérateur », c’est le dernier « rejeton d’une de ses vieilles familles ruinées de Caracas, prêt à tout pour l’argent ». Trois personnages qui incarnent, pour le romancier, autant de stéréotypes de cette classe moyenne qui survit à Caracas – vieilles familles et nouveaux riches confondus.
« Je voulais décrire cette “bolibourgeoisie”, cette bourgeoisie bolivarienne que le chavisme a engendrée », déclare l’auteur à El Universal : « Les arrivistes, les fonctionnaires complaisants qui profitent des circonstances politiques… Je voulais décrire comment tout cela fonctionne, comment se déroule le processus d’adaptation de certains groupes sociaux à la réalité que les Vénézuéliens vivent tous. » Car « moi, toi, lui » ne sont finalement que des émanations de ce « Nous tous » éponyme qui incarne, selon les mots mêmes de l’écrivain, « l’archétype d’une société trop accommodante, polymorphe, avide de consommation et d’argent facile ».

martes, 20 de agosto de 2013

"Nosotros todos" en Librería Sónica de RCR: entrevista con el autor

Audio de la entrevista: http://libreriasonica.blogspot.com/

Presentación:

Nosotros todos caemos en la trampa, en el juego; nosotros todos hemos votado y nos han botado; nosotros todos tenemos fe en que las cosas mejoren y a veces no. De esto y mucho más va la primera novela de Manuel Acedo Sucre, Nosotros todos, un texto que lleva mucho de la realidad actual venezolana pero siempre desde el lado de la ficción, en ese límite tan cercano en donde ver identidades es tan sólo una cuestión de parpadear.